Chongqing

 

 

Un site urbain exceptionnel. Une ville en montagne, aux confluents du fleuve Yangzi et de la rivière Jialing, qui escalade une presqu’île rocheuse au milieu d’une mer de nuages ; on l’appelle d’ailleurs la cité des brumes. Ici comme nulle part ailleurs en Chine, les vélos sont presque totalement absents à cause du relief particulièrement accidenté. Dans les ruelles escarpées dont les escaliers à pic se précipitent dans le fleuve, la foule se bouscule, marchande, mange en plein air, au milieu des portefaix et des petits métiers ailleurs disparus. Chongqing, c’est aussi un port fluvial au trafic dense sur le plus long fleuve de Chine. Ici se croisent au hasard des quais, hommes et marchandises dans une ambiance vibrante. C’est généralement à partir de Chongqing que l’on commence une croisière sur le Yangzi ou que l’on s’égare vers les sites bouddhiques de Dazu, au cœur de la campagne sichuanaise où alternent les rizières en terrasses, les bosquets de bambous, les champs de mûrier et de théiers…

 

Le Musée Municipal
Il présente une collection des trésors Han de la région et une exposition photographique des piliers funéraires découverts par Victor Ségalen en 1914.

 

Le Quai de la Porte qui Regarde le Ciel
Chaotian men. On peut se promener au milieu du va-et-vient des vapeurs et des sampans surchargés, les jonques aux voiles de bambou se faisant rares. A partir des quais Wanglongmen ou Qiansi Men, vous pourrez emprunter des télécabines qui vous mèneront sur la rive opposée où vous profiterez du point de vue sur la ville montagneuse.



 


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